Document Type

Article

Publication Date

1994

Source Publication

Canadian Bar Review. Volume 73, Number 3 (1994), p. 347-371.

Abstract

The use of language is fundamental to law. This paper addresses three reasons why lawyers should use non-discriminatory (and especially non-sexist) language: to promote accuracy in legal writing and speech; to meet current standards of professional integrity and responsibility; and to be consistent with legal norms of equality and non-discrimination in Canadian law. The paper then examines ways of achieving non-discriminatory language in English and French in a number of concrete situations. The paper examines the `false generics" of "l'homme" and "man"; the problems of gender specific pronouns (a problem which has different implications in English and in French); and the use of a non-sexist vocabulary. Finally, it explores briefly the relationship between non-discriminatory language and other aspects of equality in the legal profession.

French Abstract

Le langage est fondamental en droit. Cet article traite de trois raisons pour lesquelles les avocats devraient utiliser un langage non discriminatoire (et particulièrement non sexiste): pour favoriser la précision dans le langage juridique écrit et parlé; pour être à la hauteur des standards courants d'intégrité et de responsabilité professionnelles; et pour être cohérent avec les normes juridiques d'égalité et de non-discrimination en droit canadien. Ensuite l'article examine des méthodes pour arriver à un langage non discriminatoire en anglais et en français dans plusieurs situations concrètes. Le texte porte sur les faux termes génériques «homme» et «man»; les problèmes concernant les pronoms particuliers à un genre (un problème qui a des implications différentes en anglais et en français); et l'emploi d'un vocabulaire non sexiste. Enfin, il touche brièvement la relation entre le langage non discriminatoire et d'autres aspects de l'égalité dans la profession juridique.

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