Document Type

Article

Publication Date

2023

Source Publication

Canadian Tax Journal, forthcoming 2023

Keywords

Digitalisation of Economy; Pillar Two; Global Minimum Tax; IIR; UTPR; QDMTT; BEPS

Abstract

Nobody believes that Canada is a tax haven. The fact remains that the effective tax rate of certain entities could be less than 15%. If nothing is done, Pillar Two could therefore apply and taxes that naturally accrue to Canada could end up in foreign hands. We must therefore find a solution and the most obvious is that of adopting a qualified domestic minimum top up tax. Other solutions are possible, but they seem less attractive. A QDMTT still presents some challenges. These challenges include sharing with the provinces, determining the priority to be given to certain foreign taxes relating to Canadian income (i.e., whether those foreign taxes take priority over the QDMTT or vice versa), estimating certain foreign taxes.

French Abstract

Personne ne croit que le Canada est un paradis fiscal. Il n’en reste pas moins que le taux effectif d’imposition de certaines entités pourrait y être inférieur à 15%. Si rien n’est fait, le Pilier Deux pourrait donc s’y appliquer et des impôts qui reviennent naturellement au Canada pourraient finir entre des mains étrangères. Il faut donc trouver une solution et la plus évidente est celle d’adopter un qualified domestic minimum top up tax. D’autres solutions sont possibles, mais elles semblent moins attirantes. Le QDMTT présente quand même certains défis. Parmi ces défis, il faut compter le partage avec les provinces, la détermination de la priorité qu’il faut donner à certains impôts étrangers relatifs à un revenu canadien (c’est-à-dire, si ces impôts étrangers ont la priorité sur le QDMTT ou vice versa), l’estimation de certains impôts étrangers.

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