Keywords
Parkdale Community Legal Services; Legal aid; Legal assistance to women; Women--Violence against; Landlord and tenant; Canada
Document Type
Article
Abstract
This article deals with the tension for legal aid clinics between a policy of not representing landlords and a policy of acting for abused women rather than their alleged abusers. Many women face violence where they live, which can jeopardize their tenancies. To combat the resulting legal problems effectively, clinics may need to work indirectly or even directly for landlords. Clinics ought also to consider lobbying for changes to legislation to allow tenants to take action directly against other tenants who threaten their safety. Parkdale Community Legal Services (PCLS), which led the way for other clinics in their adoption of both policies has, more recently, been considering broadening its violence policy. The author urges PCLS and other clinics to look carefully at the situation of female tenants at risk of violence and adapt their case criteria to better meet these womens' needs.
French Abstract
Cet article traite du dilemme auquel sont confrontées les cliniques d'aide juridique en raison d'une part, d'une politique de non-représentations des propriétaires et, d'autre part, d'une politique représentation des femmes victimes de violence plutôt que de leurs présumés aggresseurs. Plusieurs femmes sont victimes de violence là où elles habitent, ce qui peut compromettre leur contrat de bail. Pour tenter de résoudre efficacement les problèmes juridiques qui découlent de cette situation, les cliniques peuvent être appelées à travailler indirectement, voire directement, pour les propriétaires. Les cliniques devraient également envisager la possibilité de faire des des pressions afin d'obtenir des changements législatifs qui permettraient aux locataires de prendre des mesures directement contre d'autres locataires qui menacent leur sécurité. Parkdale Community Legal Services a joué un rôle de chef de file dans l'adoption de ces deux politiques et a récemment songé à élargir sa politique en matière de violence. L'auteur presse PCLS et les autres cliniques à examiner attentivement la situatione des femmes locataires qui risquent de subir de la violence et à ajuster les critères d'accessibilité de leurs services de fa çon à mieux répondre aux besoins de ces femmes.
Creative Commons License
This work is licensed under a Creative Commons Attribution-Noncommercial-No Derivative Works 4.0 License.
Citation Information
Pope, Lori A. "Safe at Home: Protecting Female Tenants from Violence." Osgoode Hall Law Journal 35.3/4 (1997) : 805-816. http://digitalcommons.osgoode.yorku.ca/ohlj/vol35/iss3/28