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Keywords

Women lawyers; Flexible work arrangements; Sex discrimination in the workplace; Women--Legal status, laws, etc.; Australia

Document Type

Special Issue Article

Abstract

Despite the fact that women comprise well over 50 per cent of law graduates in many parts of the world, women lawyers continue to be clustered disproportionately in the lower echelons of the profession. This paper considers the role of flexible work as a gender equity strategy and is illuminated by interviews with lawyers in elite corporate firms in Australia. It is argued that far from being a panacea, flexible work is being invoked to confine women to subordinate roles and to restrict access to partnerships. Not only is there a residual suspicion of the feminine in positions of authority and resistance to the idea of bodily absence from the workplace, but also the contemporary market discourse has erased a commitment to social justice and equality.

French Abstract

En dépit du fait que les femmes composent plus de 50 % des diplômés en droit dans de nombreuses parties du globe, les avocates sont encore cantonnées, de manière disproportionnée, aux échelons inférieurs de la profession. Cet article se penche sur le rôle que joue le travail souple à titre de stratégie en matière de parité des sexes. L'article est éclairé par quelques entrevues avec des avocats travaillant parmi les cabinets d'avocats chefs de file en droit des affaires en Australie. On y arguë que loin d'être une panacée, le travail souple est actuellement invoqué pour confiner les femmes dans des rôles subalternes et restreindre l'accès aux partenariats. Il existe non seulement un reste de méfiance envers la présence de femmes dans des postes d'autorité et une résistance contre l'idée des absences physiques au travail, mais le discours du marché contemporain a gommé l'engagement envers la justice sociale et l'égalité.

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